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dimanche 23 mars 2008

Pâques, Chocolat, lapin, souvenirs ...




Les fêtes, comme d'habitude, me replongent dans les souvenirs !
Des bons souvenirs : le plaisir des grands à cacher les oeufs en chocolat dans le jardin, la joie des petits à les chercher, même avec le chien !
Souvenirs

... petite, avec les frangins frangine cousins cousines tontons tatas dans le merveilleux jardin de mes grands-parents ... insouciance, jeux, rires, chocolat plein le petit panier en osier, la main dans la main avec Pa'Georges, mon grand-père paternel, immense, fort, avec une grosse voix, et des histoires incroyables et des chansons qui faisaient rougir Man'Lhène (ma grand mère)
... plus grande avec mes enfants frangins belle-soeurettes neveux nièces dans le magnifique jardin de mes parents, du côté des adultes, je m'amuse à mon tour à cacher les oeufs, à faire sonner la cloche, à caresser la main de mon vieux papa, à aider ma p'tite mère aux fourneaux, à être la Tata comme les Tatas d'avant !
... et aujourd'hui, d'être sur mon balcon, seule, je rêve ... Mes grands gars font semblant d'attendre leurs lapins en chocolat en rigolant lorsque je leur dis qu'ils sont cachés ... Alors qu'ils les ont trouvés depuis longtemps !
Autre temps ... Temps qui passe ...

Question : pourquoi les lapins de Pâques ?

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Pourquoi le lapin de Pâques alors que c’est la poule qui pond des oeufs ?
On trouve des traces du «lapin de Pâques» jusque dans l’Antiquité, 3500 ans avant Jésus-Christ. Au départ on parlait plus d’un lièvre, symbole d'abondance, de prolifération et de renouveau. La tradition d'associer le lapin et les œufs serait d'origine allemande et alsacienne et celle de les offrir en chocolat serait une initiative des commerçants du XVIIIe siècle qui trouvaient l'idée intéressante après les privations du carême. Le mythe du lapin apportant des œufs aux enfants serait née d’une légende allemande : une pauvre, trop pauvre pour offrir des douceurs à ses enfants, aurait décoré et caché des œufs dans le jardin avant d’y envoyer ses enfants. Ceux-ci, apercevant un lapin, pensèrent que c’était lui qui avait pondu les œufs…

Anonyme a dit…

Tout comme toi je connais cette nostalgie des fêtes de Pâques de mon enfance.
Je me faisais pratiquement la même réflexion ce WE et je me disais qu'il me faudra attendre d'être grand mère pour pouvoir recréer cet univers... mais je le ferai j'en suis sure. Mes grands (enfin ce WE un seul des deux était avec nous) ont eu aussi leur cocotte et leurs oeufs, ils étaient heureux tout de même de voir que je ne les avais pas oublier justement sous prétexte qu'ils étaient grands.
Plein de big bisous pour une belle journée.

Anonyme a dit…

Le bonheur est un parfum que l'on ne peut verser sur les autres
sans en recevoir quelques gouttes.
Saint Augustin
j'aime bien celui là !
comme m'a dit une amie, mon blog c'est "mon sac à marre" alors je débale, je débale... et pour un petit moment ça va mieux...
c'est dur, pour moi, les douleurs physiques, pour d'autres, les douleurs morales, (les séquelles de la maladie), les deux font mal, très mal, alors c'est vrai que se serait plus simple, beaucoup plus facile de laisser tomber, de se laisser aller, mais ce matin, j'ai envie encore une fois de me dire que je vais y arriver, que mon esprit est plus fort que le reste et que je vais combattre une à une , toutes ces petites taches noires sur mon squelette et que je vais les transformer en mandalas bleus ! je crois en l'esprit, il est le plus fort, alors bye bye cafard et bonjour combativité !
bisous tendres
CATHERINETTE DES ESSENTIELLES
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cliques sur le lien pour me répondre, ça me fera plaisir

Anonyme a dit…

Le désespoir est assis sur un banc (Prévert)

Dans un square sur un banc
Il y a un homme qui vous appelle quand on passe
Il a des binocles un vieux costumes gris
Il fume un petit ninas il est assis
Et il vous appelle quand on passe
Ou simplement il vous fait signe
Il ne faut pas le regarder
Il ne faut pas l'écouter
Il faut passer
Faire comme si on ne le voyais pas
Comme si on ne l'entendais pas
Il faut passer presser le pas
Si vous le regardez
Si vous l'écoutez
Il vous fait signe et rien ni personne
Ne peut vous empêcher d'aller vous asseoir près de lui
Alors il vous regarde et sourit
Et vous souffrez attrocement
Et l'homme continue de sourire
Et vous souriez du même sourire
Exactement
Plus vous souriez plus vous souffrez
Atrocement
Plus vous souffrez plus vous souriez
Irrémédiablement
Et vous restez là
Assis figé
Souriant sur le banc
Des enfants jouent tout près de vous
Des passants passent
Tranquillement
Des oiseaux s'envolent
Quittant un arbre
Pour un autre
Et vous restez là
Sur le banc
Et vous savez vous savez
Que jamais plus vous ne jouerez
Comme ces enfants
Vous savez que jamais plus vous ne passerez
Tranquillement
Comme ces passants
Que jamais plus vous ne vous envolerez
Quittant un arbre pour un autre
Comme ces oiseaux.

BISOUS MA BELLE
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